Sommaire du journal N°20 - Juillet/Août 1997
Chers lecteurs,
Il est encore trop tôt pour savoir si son jugement fera jurisprudence mais le tribunal administratif de Pau a frappé fort ! S'appuyant sur une étude de la direction régionale de l'Environnement qui avait pour thème "l'extension limitée de l'urbanisation", il a estimé qu'on ne pouvait construire à moins de 1 000 mètres du littoral, à partir du moment où la construction était située dans une forêt de protection. On est loin de la bande des 100 mètres de la loi Littoral où on ne peut rien construire, et que les élus et les promoteurs avaient, peu à peu, intégrée. Et voilà qu'on leur dit qu'on ne peut construire dans une forêt dont le rôle de protection face à l'érosion éolienne s'étend sur plus de 1 000 mètres à l'intérieur des terres. La loi Littoral avait déjà contredit, dix ans plus tard, les aménageurs de la Mission interministérielle d'aménagement de la Côte Aquitaine qui, soucieux de préserver la côte de façon que celle-ci ne devienne pas une nouvelle Côte d'Azur, avaient choisi de créer des fixations urbaines sur certains points de la côte pour garder ailleurs des espaces protégés. Même si l'on est un ardent défenseur de la nature, on comprend le désarroi des élus et des aménageurs. Bonnes vacances à tous.
Il est encore trop tôt pour savoir si son jugement fera jurisprudence mais le tribunal administratif de Pau a frappé fort ! S'appuyant sur une étude de la direction régionale de l'Environnement qui avait pour thème "l'extension limitée de l'urbanisation", il a estimé qu'on ne pouvait construire à moins de 1 000 mètres du littoral, à partir du moment où la construction était située dans une forêt de protection. On est loin de la bande des 100 mètres de la loi Littoral où on ne peut rien construire, et que les élus et les promoteurs avaient, peu à peu, intégrée. Et voilà qu'on leur dit qu'on ne peut construire dans une forêt dont le rôle de protection face à l'érosion éolienne s'étend sur plus de 1 000 mètres à l'intérieur des terres. La loi Littoral avait déjà contredit, dix ans plus tard, les aménageurs de la Mission interministérielle d'aménagement de la Côte Aquitaine qui, soucieux de préserver la côte de façon que celle-ci ne devienne pas une nouvelle Côte d'Azur, avaient choisi de créer des fixations urbaines sur certains points de la côte pour garder ailleurs des espaces protégés. Même si l'on est un ardent défenseur de la nature, on comprend le désarroi des élus et des aménageurs. Bonnes vacances à tous.
Côte Sud des Landes
Capbreton
Soorts-Hossegor
- La villa Grouvel va être détruite
- La place des Landais sous (télé) surveillance?
- Le Sporting change de main
- "Hossegor, d'un siècle à l'autre"
Seignosse
- L'estacade en miettes
- Piscines: un seul bassin et de l'eau douce...
- Le permis de construire du pont marchand
Soustons
Vieux-Boucau
Moliets-et-Maâ
- Imbroglio pour un permis de construire
- Sous la plage, les blockhaus
- Polémique au sujet de la maison de la Réserve
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N°149 - Janvier/Février 2019
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Courrier des lecteurs
De M. Serge Letard [Boulogne-Billancourt], propriétaire à Seignosse