Sommaire du journal N°31 - Mai/Juin 1999
Chers lecteurs,
Les casinos de Capbreton et d'Hossegor rénovent à tout va. A Hossegor, le Sporting-Club, monument classé, retrouve peu à peu son élégance d'autrefois grâce aux concessionaires du casino. Ceux de Capbreton se sont lancés, eux aussi, dans une décoration luxueuse.
Rien n'est trop beau pour ces temples du jeu qui drainent, tout au long de l'année, des sommes considérables grâce aux "bandits manchots", les machines à sous qui suscitent l'engouement populaire. Au point que la demande est souvent supérieure à l'offre et que, l'été, les amateurs, à Hossegor et Capbreton, piétinent en attendant qu'une machine se libère ! Les deux casinotiers ont demandé au ministère de l'Intérieur l'autorisation de pouvoir exploiter davantage de machines à sous. Avec l'appui des municipalités. Les communes ont, en effet, un intérêt direct au succès de cette forme de jeux puisque, en dehors du fait que les casinos créent des emplois, elles peuvent recueillir jusqu'à 15% des recettes. C'est ainsi que les casinos rapportent désormais à Capbreton et à Hossegor quelque trois millions de francs par an.
On conçoit, dans ces conditions, que Seignosse souhaite imiter ses voisines. D'autant plus qu'elle a, avec la salle des Bourdaines, surdimensionnée et sous-utilisée, un emplacement idéal. Il n'est pas sûr, pour autant, qu'un des groupes puissants qui se partagent le marché des casinos en France – Capbreton, géré par un indépendant est une exception, alors qu'Hossegor est géré par le groupe Barrière – se lance dans l'exploitation d'un troisième casino dans un périmètre aussi restreint.
Si, toutefois, Seignosse intéressait l'un d'entre eux, il resterait ensuite à obtenir l'autorisation du ministère de l'Intérieur. Et ensuite à attendre une période probatoire d'un an avant d'obtenir le droit d'exploiter ces fameuses machines à sous. Bref ! Si tout se déroule bien, il faudra au moins trois ou quatre ans avant de toucher le pactole...
Claude Fouchier
Les casinos de Capbreton et d'Hossegor rénovent à tout va. A Hossegor, le Sporting-Club, monument classé, retrouve peu à peu son élégance d'autrefois grâce aux concessionaires du casino. Ceux de Capbreton se sont lancés, eux aussi, dans une décoration luxueuse.
Rien n'est trop beau pour ces temples du jeu qui drainent, tout au long de l'année, des sommes considérables grâce aux "bandits manchots", les machines à sous qui suscitent l'engouement populaire. Au point que la demande est souvent supérieure à l'offre et que, l'été, les amateurs, à Hossegor et Capbreton, piétinent en attendant qu'une machine se libère ! Les deux casinotiers ont demandé au ministère de l'Intérieur l'autorisation de pouvoir exploiter davantage de machines à sous. Avec l'appui des municipalités. Les communes ont, en effet, un intérêt direct au succès de cette forme de jeux puisque, en dehors du fait que les casinos créent des emplois, elles peuvent recueillir jusqu'à 15% des recettes. C'est ainsi que les casinos rapportent désormais à Capbreton et à Hossegor quelque trois millions de francs par an.
On conçoit, dans ces conditions, que Seignosse souhaite imiter ses voisines. D'autant plus qu'elle a, avec la salle des Bourdaines, surdimensionnée et sous-utilisée, un emplacement idéal. Il n'est pas sûr, pour autant, qu'un des groupes puissants qui se partagent le marché des casinos en France – Capbreton, géré par un indépendant est une exception, alors qu'Hossegor est géré par le groupe Barrière – se lance dans l'exploitation d'un troisième casino dans un périmètre aussi restreint.
Si, toutefois, Seignosse intéressait l'un d'entre eux, il resterait ensuite à obtenir l'autorisation du ministère de l'Intérieur. Et ensuite à attendre une période probatoire d'un an avant d'obtenir le droit d'exploiter ces fameuses machines à sous. Bref ! Si tout se déroule bien, il faudra au moins trois ou quatre ans avant de toucher le pactole...
Claude Fouchier
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