Sommaire du journal N°36 - Mars/Avril 2000
Chers lecteurs,
"Les vacances de M. Hulot", c'est fini ! La vie de pension dans un petit hôtel sympathique pendant les vacances au bord de la mer, décrite avec humour par Jacques Tati dans un film célèbre, n'est plus à la mode. De la même façon que les longs séjours, sur le littoral, passés d'un mois à la quinzaine, voire à une semaine.
Les campings, en revanche, ne désemplissent pas, les mobile homes non plus. Et on s'y prend, au plus tard, au mois de janvier pour réserver une location de vacances.
Résultat, les hôtels ferment : en un peu plus de vingt ans, à Capbreton, la moitié d'entre eux ont mis la clé sous la porte. Il faut dire aussi qu'une réglementation tatillonne, notamment sur le plan de la sécurité, ne leur facilite pas les choses.
Tout cela inquiète, à juste titre, la municipalité qui n'en peut mais. Sauf à imaginer une sorte de partenariat avec les professionnels qui pourrait consister pour la commune, par exemple, avec l'aide des conseils général et régional, voire de l'Etat, à devenir propriétaire des murs et à confier la gestion de l'établissement à des restaurateurs et hôteliers.
C'est peut-être finalement la solution qui sera retenue pour l'hôtel du Cers, 60 chambres trois étoiles, dont on voit difficilement comment, malgré l'assurance d'une clientèle captive – celle des proches des pensionnaires du Cers – un promoteur privé pourrait s'engager sans l'aide d'investisseurs institutionnels.
Claude Fouchier
"Les vacances de M. Hulot", c'est fini ! La vie de pension dans un petit hôtel sympathique pendant les vacances au bord de la mer, décrite avec humour par Jacques Tati dans un film célèbre, n'est plus à la mode. De la même façon que les longs séjours, sur le littoral, passés d'un mois à la quinzaine, voire à une semaine.
Les campings, en revanche, ne désemplissent pas, les mobile homes non plus. Et on s'y prend, au plus tard, au mois de janvier pour réserver une location de vacances.
Résultat, les hôtels ferment : en un peu plus de vingt ans, à Capbreton, la moitié d'entre eux ont mis la clé sous la porte. Il faut dire aussi qu'une réglementation tatillonne, notamment sur le plan de la sécurité, ne leur facilite pas les choses.
Tout cela inquiète, à juste titre, la municipalité qui n'en peut mais. Sauf à imaginer une sorte de partenariat avec les professionnels qui pourrait consister pour la commune, par exemple, avec l'aide des conseils général et régional, voire de l'Etat, à devenir propriétaire des murs et à confier la gestion de l'établissement à des restaurateurs et hôteliers.
C'est peut-être finalement la solution qui sera retenue pour l'hôtel du Cers, 60 chambres trois étoiles, dont on voit difficilement comment, malgré l'assurance d'une clientèle captive – celle des proches des pensionnaires du Cers – un promoteur privé pourrait s'engager sans l'aide d'investisseurs institutionnels.
Claude Fouchier
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