Sommaire du journal N°42 - Mars/Avril 2001
Chers lecteurs,
Finalement les élus municipaux "y retournent".
Beaucoup avaient pourtant manifesté, il y a quelques mois encore, leur intention de renoncer. Ils étaient exaspérés par une administration d'Etat les accablant de textes et de circulaires, prenant ainsi une sorte de revanche après la peur qu'elle avait eue en se croyant dessaisie de ses privilèges à la suite des lois de décentralisation.
Les élus locaux étaient surtout scandalisés de se voir traînés devant les tribunaux et souvent condamnés pour des accidents survenus sur le territoire de leur commune et dont on les accusait d'être responsables.
Le gouvernement et le parlement les ont entendus.
Ainsi la loi du 10 juillet 2000 prévoit-elle que les élus ne seront condamnés que s'ils ont «violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité», ou commis «une faute caractérisée».
Ainsi rassérénés, la plupart des maires ont accepté de rempiler. Et ils se retrouvent d'ailleurs, le plus souvent, avec des listes concurrentes.
La démocratie locale est donc sauve.
Elle s'est même améliorée car, phénomène notable, dans les communes de moins de 3 500 habitants où la loi n'oblige pas à la parité hommes-femmes, partout les candidats aux postes de maires – des hommes il est vrai pour la plupart – ont inclus le plus grand nombre possible de femmes dans leurs listes.
Claude Fouchier
Finalement les élus municipaux "y retournent".
Beaucoup avaient pourtant manifesté, il y a quelques mois encore, leur intention de renoncer. Ils étaient exaspérés par une administration d'Etat les accablant de textes et de circulaires, prenant ainsi une sorte de revanche après la peur qu'elle avait eue en se croyant dessaisie de ses privilèges à la suite des lois de décentralisation.
Les élus locaux étaient surtout scandalisés de se voir traînés devant les tribunaux et souvent condamnés pour des accidents survenus sur le territoire de leur commune et dont on les accusait d'être responsables.
Le gouvernement et le parlement les ont entendus.
Ainsi la loi du 10 juillet 2000 prévoit-elle que les élus ne seront condamnés que s'ils ont «violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité», ou commis «une faute caractérisée».
Ainsi rassérénés, la plupart des maires ont accepté de rempiler. Et ils se retrouvent d'ailleurs, le plus souvent, avec des listes concurrentes.
La démocratie locale est donc sauve.
Elle s'est même améliorée car, phénomène notable, dans les communes de moins de 3 500 habitants où la loi n'oblige pas à la parité hommes-femmes, partout les candidats aux postes de maires – des hommes il est vrai pour la plupart – ont inclus le plus grand nombre possible de femmes dans leurs listes.
Claude Fouchier
Côte Sud des Landes
- Le second récif artificiel au printemps
- La bataille des salles obscures ?
- La Semaine des Landes disparaît
- Quel avenir pour le thermalisme ?
- Chasse : situation inextricable et tendue
- Elections municipales et cantonales
- Gérer les jussies ?
- Traditions landaises - La chasse à la jument
- Sivom Côte Sud - Port : remise en état des pontons et dragage
- Livres
Capbreton
Soorts-Hossegor
Seignosse
Soustons
Vieux-Boucau
Messanges
Moliets-et-Maâ
Accédez aux autres sommaires
Dernière minute
N°149 - Janvier/Février 2019
Commentaires
Courrier des lecteurs
De M. Luc Marcus [Paris], propriétaire à Hossegor
Dernier numéro
Boutique
18.15 €
L'île d'Oléron vue d'en haut
Commander
6 €
N°148
Novembre/Décembre 2018
Novembre/Décembre 2018
Commander
Le produit a été ajouté au panier