Sommaire du journal N°43 - Mai/Juin 2001
Chers lecteurs,
Il n'y a pas de grands bouleversements sur la côte sud, à l'exception notable de Seignosse et de Soustons. Avec quelques dizaines de voix d'avance, le journaliste Ladislas de Hoyos a battu le docteur Christian Zago sans lui laisser un seul siège.
A Soustons, où traditionnellement la lutte est politique, voire politicienne, la droite de Charles Mauvoisin a coiffé la gauche de Jean-Yves Montus de 52 voix sur 3 386 suffrages exprimés...
Les électeurs soustonnais qui ont sanctionné leur maire sortant l'ont, dans le même temps, élu au conseil général. Selon le précepte : «Le conseiller général représente certes impartialement le canton, mais il vaut quand même mieux qu'il soit de la commune !»
A Vieux-Boucau, où le socialiste André Rigal passait la main, c'est le général Robert Laffite, conseiller régional CPNT, qui l'emporte d'une courte tête. Notons que la parité n'inspire visiblement pas les Boucalais : une seule femme siège au milieu de quatorze conseillers mâles !
Messanges, en revanche, qui reconduit Hervé Bouyrie, a plébiscité Pierrette Vignaux : 92 % des suffrages exprimés. Elle est première adjointe.
Et les Molietsois réjouiront le cœur des féministes puisqu'ils ont élu une femme maire Anne-Marie Cancouët, au bénéfice de l'âge, il est vrai, contre une autre femme. Remarquons à ce propos, qu'en politique, contrairement au monde du travail obsédé par le "jeunisme", l'expérience prime...
A Capbreton et Soustons, où la parité était obligatoire, on ne retrouve aux "gouvernements" que trois femmes sur huit adjoints à Capbreton et trois sur sept à Soustons. Il est vrai que le mauvais exemple vient d'en haut : il n'y a que trois femmes sur trente élus au conseil général des Landes...
Claude Fouchier
Il n'y a pas de grands bouleversements sur la côte sud, à l'exception notable de Seignosse et de Soustons. Avec quelques dizaines de voix d'avance, le journaliste Ladislas de Hoyos a battu le docteur Christian Zago sans lui laisser un seul siège.
A Soustons, où traditionnellement la lutte est politique, voire politicienne, la droite de Charles Mauvoisin a coiffé la gauche de Jean-Yves Montus de 52 voix sur 3 386 suffrages exprimés...
Les électeurs soustonnais qui ont sanctionné leur maire sortant l'ont, dans le même temps, élu au conseil général. Selon le précepte : «Le conseiller général représente certes impartialement le canton, mais il vaut quand même mieux qu'il soit de la commune !»
A Vieux-Boucau, où le socialiste André Rigal passait la main, c'est le général Robert Laffite, conseiller régional CPNT, qui l'emporte d'une courte tête. Notons que la parité n'inspire visiblement pas les Boucalais : une seule femme siège au milieu de quatorze conseillers mâles !
Messanges, en revanche, qui reconduit Hervé Bouyrie, a plébiscité Pierrette Vignaux : 92 % des suffrages exprimés. Elle est première adjointe.
Et les Molietsois réjouiront le cœur des féministes puisqu'ils ont élu une femme maire Anne-Marie Cancouët, au bénéfice de l'âge, il est vrai, contre une autre femme. Remarquons à ce propos, qu'en politique, contrairement au monde du travail obsédé par le "jeunisme", l'expérience prime...
A Capbreton et Soustons, où la parité était obligatoire, on ne retrouve aux "gouvernements" que trois femmes sur huit adjoints à Capbreton et trois sur sept à Soustons. Il est vrai que le mauvais exemple vient d'en haut : il n'y a que trois femmes sur trente élus au conseil général des Landes...
Claude Fouchier
Côte Sud des Landes
Capbreton
Soorts-Hossegor
Seignosse
Soustons
Vieux-Boucau
Messanges
Moliets-et-Maâ
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Courrier des lecteurs
De M. Jean-Claude Brégail [Mourenx], propriétaire à Seignosse-le-Penon