Sommaire du journal N°6 - Mars/Avril 1995

Chers lecteurs,
La Conférence internationale Bordomer qui s'est tenue, à Bordeaux, début février, et qui a réuni quelque 400 spécialistes des côtes du monde entier l'a confirmé: la mer avance. On le savait, me direz-vous, mais il est très difficile de l'admettre parce qu'il est difficile d'admettre que la nature change et que l'océan ne reste pas à sa place. «Quand vous êtes sur une plage et que la marée monte, a dit l'un des scientifiques de Bordomer, vous reculez. Il faut faire la même chose en matière d'urbanisme... On n'arrête pas l'océan.» Cela ne sert à rien d'enrocher ou de bétonner, on ne fait que déplacer le problème ou retarder l'échéance. Et cela coûte, en outre, une fortune. Bref, l'océan est le plus fort et l'homme, quoi qu'il en pense, ne peut le domestiquer. Ces vérités ne sont pas simples à entendre.

Côte Sud des Landes

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Soustons

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Messanges

Moliets-et-Maâ

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