Sommaire du journal N°45 - Septembre/Octobre 2001
Chers lecteurs,
L'un de nos abonnés, observateur attentif de la vie à Hossegor, nous adresse son appréciation sur la sécurité dans la station au cours de l'été : «En progrès, mais peut et doit mieux faire» (voir Courrier des lecteurs).
Cette opinion rejoint la nôtre, en l'absence de statistiques et de chiffres précis que les autorités tardent toujours à communiquer... quand elles le font. Il est pénible de rappeler aux fonctionnaires, ainsi qu'aux élus, qu'il ne suffit pas d'agir mais qu'il est de leur devoir de rendre des comptes au citoyen, au contribuable, à l'électeur qui est, in fine, le seul juge.
De la même façon, il est assommant de constater que lorsqu'un problème, comme celui de l'insécurité par exemple, prend de l'ampleur, la lourdeur des procédures administratives, le manque de dynamisme d'une classe politique qui n'est plus sur le terrain – en dehors des maires – font qu'il faut attendre des années voire des décennies avant que les choses bougent.
La loi Littoral date de 1986. En l'absence de décrets, les juges ont fait évoluer la loi dans le sens d'une protection telle que le développement économique des zones littorales est compromis. C'est ainsi que Moliets et la Côte Sud voient le Club Med leur échapper.
Une réflexion est engagée, une commission se met en place mais, là encore, il faudra des années avant que des règles claires concilient la protection du littoral et le développement économique.
Claude Fouchier
L'un de nos abonnés, observateur attentif de la vie à Hossegor, nous adresse son appréciation sur la sécurité dans la station au cours de l'été : «En progrès, mais peut et doit mieux faire» (voir Courrier des lecteurs).
Cette opinion rejoint la nôtre, en l'absence de statistiques et de chiffres précis que les autorités tardent toujours à communiquer... quand elles le font. Il est pénible de rappeler aux fonctionnaires, ainsi qu'aux élus, qu'il ne suffit pas d'agir mais qu'il est de leur devoir de rendre des comptes au citoyen, au contribuable, à l'électeur qui est, in fine, le seul juge.
De la même façon, il est assommant de constater que lorsqu'un problème, comme celui de l'insécurité par exemple, prend de l'ampleur, la lourdeur des procédures administratives, le manque de dynamisme d'une classe politique qui n'est plus sur le terrain – en dehors des maires – font qu'il faut attendre des années voire des décennies avant que les choses bougent.
La loi Littoral date de 1986. En l'absence de décrets, les juges ont fait évoluer la loi dans le sens d'une protection telle que le développement économique des zones littorales est compromis. C'est ainsi que Moliets et la Côte Sud voient le Club Med leur échapper.
Une réflexion est engagée, une commission se met en place mais, là encore, il faudra des années avant que des règles claires concilient la protection du littoral et le développement économique.
Claude Fouchier
Côte Sud des Landes
- Communauté de communes à 23
- Une mission pour le littoral
- Brèves
- Saison difficile sur les plages
- Record d'affluence en août
- Sécurité : les efforts à poursuivre
- Le premier skate-park en Aquitaine
- Livres
- Le chant des chioulayres
Capbreton
- "Imatourisme"
- Le Cers fête ses dix ans
- Brèves
- La "Maison du Port" à l'étude
- Scooters des mers sur la côte sud
Soorts-Hossegor
Seignosse
- Le réveil de la salle des Bourdaines
- Fréquentation stable à Atlantic Parc
- Nouveau dialogue
- Brèves
- Vent de fraîcheur sur les ondes
Soustons
Vieux-Boucau
- Le second récif artificiel à Vieux-Boucau
- Port d'Albret - L'avenir du lac, encore...
- L'Atlantic Harley Show reviendra
- Brèves
Messanges
Moliets-et-Maâ
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