Sommaire du journal N°72 - Mars/Avril 2006
Chers lecteurs,
C'est la mode des centres aquatiques sur le littoral atlantique. Il est vrai que des installations couvertes, nécessaires à l'apprentissage de la natation, à l'aquagym et autres remises en forme, répondent aux attentes des habitants, secondaires et permanents. Mais est-il besoin de construire, en plus, des espaces ludiques dont la rentabilité est problématique ? C'est une question qu'on peut légitimement se poser – et que certains élus se sont posées – quand on voit le coût vertigineux que représente le «premier équipement structurant» de MACS, quelque 10,5 millions d'euros.
Les élus communautaires landais ne sont pas les seuls à vouloir à tout prix leur complexe aquatique. Leurs collègues de l'île d'Oléron ont l'ambition d'en construire un pour 19 millions d'euros ! Mais le projet sera vraisemblablement revu à la baisse tant la population se rebelle à l'idée d'une dépense aussi somptuaire. Les élus de l'île de Ré, eux, ont prévu plus modestement un projet de 6 millions d'euros. Et pourtant, là aussi, les associations rétaises montent au créneau pour dénoncer un projet qu'elles jugent trop ambitieux.
Toutes ces protestations illustrent bien le ras-le-bol des citoyens contribuables devant ce qu'il faut bien appeler les dérives des dépenses publiques. Il savent que, sur ce point, l'Etat est incapable de réformer son énorme machine mais ils attendent des collectivités de proximité qu'elles dépensent moins et avec plus de discernement.
C'est la mode des centres aquatiques sur le littoral atlantique. Il est vrai que des installations couvertes, nécessaires à l'apprentissage de la natation, à l'aquagym et autres remises en forme, répondent aux attentes des habitants, secondaires et permanents. Mais est-il besoin de construire, en plus, des espaces ludiques dont la rentabilité est problématique ? C'est une question qu'on peut légitimement se poser – et que certains élus se sont posées – quand on voit le coût vertigineux que représente le «premier équipement structurant» de MACS, quelque 10,5 millions d'euros.
Les élus communautaires landais ne sont pas les seuls à vouloir à tout prix leur complexe aquatique. Leurs collègues de l'île d'Oléron ont l'ambition d'en construire un pour 19 millions d'euros ! Mais le projet sera vraisemblablement revu à la baisse tant la population se rebelle à l'idée d'une dépense aussi somptuaire. Les élus de l'île de Ré, eux, ont prévu plus modestement un projet de 6 millions d'euros. Et pourtant, là aussi, les associations rétaises montent au créneau pour dénoncer un projet qu'elles jugent trop ambitieux.
Toutes ces protestations illustrent bien le ras-le-bol des citoyens contribuables devant ce qu'il faut bien appeler les dérives des dépenses publiques. Il savent que, sur ce point, l'Etat est incapable de réformer son énorme machine mais ils attendent des collectivités de proximité qu'elles dépensent moins et avec plus de discernement.
Côte Sud des Landes
- La Région imagine le littoral du futur
- Et si le département changeait de nom ?
- Ordures ménagères suite…
- Le littoral fête le printemps
- Premières vues d'Aygueblue
- Signature de l’OPAH MACS 2
Capbreton
Soorts-Hossegor
Seignosse
Soustons
- L’office de tourisme de nouveau primé
- BROS : la tête et les jambes
- L’opposition au secours des platanes
Vieux-Boucau
Messanges
Moliets-et-Maâ
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