Sommaire du journal N°117 - Septembre/Octobre 2013

Chers lecteurs,

L'été, c'est aussi les rendez-vous traditionnels des assemblées générales des associations de propriétaires dont les résidents secondaires sont les principaux animateurs. On en lira les comptes rendus dans ce jourrnal.

A Seignosse, où Alain Le Foll a cédé la présidence de l'Association Seignosse-Océan – qui estime que Seignosse-Océan est toujours le parent pauvre de la commune par rapport à Seignosse-Bourg – à Jean Eyssartier, c'est le changement dans la continuité, le nouveau président œuvrant aus sein du conseil d'administration depuis dix ans.

A la SPSH, la Société des propriétaires à Soorts-Hossegor, qui a connu il y a un an le même passage de témoin entre Tristan de la Broise et Dominique Menaut, le désensablement du lac demeure la priorité. Il permettrait un meilleur renouvellement de l'eau et éviterait la pollution qui a notamment entraîné l'interdiction de vente d'huîtres pendant trois mois.

Notons que dans les deux associations de Soorts-Hossegor et de Seignosse de nombreuses voix se sont élevées contre l'incivilité dont font preuve de nombreux camping-caristes en se garant n'importe où ou en effectuant la vidange de leur véhicule en dehors des emplacemens réservés à cet effet.

A Vieux-boucau, l'Association des propriétaires de Port d'Albret, qui s'est battue en vain contre l'aménagement du centre du village, a eu l'honnêteté de reconnaître par la voix de son président, Jacques Liwerant, qu'elle s'était trompée sur plusieurs points et notamment le plan de circulation. Il n'empêche que le contentieux est lourd avec la municipalité contre laquelle elle a engagé plusieurs recours devant le tribunal administratif de Pau, et le président a engagé, une nouvelle fois, les membres de l'assocation à s'inscrire sur la liste électorale en vue des prochaines élections municipales.

Quant à l'Association Messanges Environnement, c'est quasiment la lune de miel avec la municipalité malgré quelques désaccords comme, par exemple, l'architecture de la nouvelle halle couverte et le choix de baptiser l'endroit «esplanade de la laïcité», peu en rapport avec la vocation de marché... Le maire, Hervé Bouyrie, s'est empressé de préciser que ce nom n'était qu'une suggestion et l'a justifié par l'utilisation future de l'édifice et de la place par des manifestations culturelles.

Nul doute que l'association et la municipalité se mettront d'accord sur une autre appellation...

Claude Fouchier